lundi 9 décembre 2013

Auvergnement Votre: Première neige autour du lac du Guery

Quelle bonne idée ai-je eu de vouloir me rendre au lac du Guery un certain lundi 02 Décembre 2013 ! Ce fut une journée inoubliable parce que toutes les conditions que j'aime le plus étaient réunies en un seul lieu et en une seule journée de ce début d'hiver: Soleil et ciel d'azur, givre, neige à perte de vue, et la montagne...
Je vais tenter de vous relater mes émotions ressenties à l'occasion de cette merveilleuse journée, que je qualifierais de magique.

Quand je me suis décidé à partir ce matin là, la plaine était plongée dans la brume et le ciel bas, un gris profond et triste comme il y'en a trop souvent à cette période de l'année. Mais grace à la technologie moderne, je pouvais consulter les webcams du Mont Dore, Super-Besse et Puy de Dôme. J'étais surpris de voir que le brouillard était assez haut laissant sans vue notre sommet emblématique, enveloppé de son écrin de gris. Seul le sommet du Sancy était en plein soleil... Bref, un peu risqué de monter là-haut mais à la seul vue du Sancy éblouissant de lumière, j'ai décidé de tenter ma chance... Et je fus comblé, jugez en !


1/ Arrivée au col du Guery dans un décors de rêve ! Et pourtant à 2 kms du sommet, c'était un brouillard total neutralisant toutes les espérances de pouvoir contempler une nature immaculée.

 
 
 
2/  Alors que le brouillard venait de quitter les abords du lacs, je ne pouvais que constater la magie du givre de ce début d'hiver s'associant étrangement au dernier soubressaut de l'automne.

 

 

3/ Lorsque je m'apprétais à quitter le parking du col du Guery, le vrombissement d'une fraiseuse me fit tourner le regard. Je découvrais alors l'engin projetant de toute sa puissance une gerbe de neige pulvérisée, n'épargnant même pas cet arbre au centre de l'action, mais qui en a vu d'autres !


4/  Mon tour commença par le lac du Guery. Jolie échappée à partir de cette source qui l'alimente. Le bleu intense de l'eau pas encore prise par la glace contraste avec le reste de la surface blanche durcit... en apparence!

 


5/ cette vue surréaliste du lac pris par les glaces est presque aveuglante. Le "Guery"  semble figé pour l'éternité dans cet environnement de froid et de givre qu'un pâle soleil tente de réchauffer. Au fond, se détache la chaine bleutée des monts Dore depuis le Puy de la Tache à gauche (1629 m) jusqu'au puy de l'Angle (1738 m) à droite.

 


6/ Côté nord, à partir du col du Guery, s'offre cette vue traditionnelle des 2 roches volcaniques se faisant façe depuis des millénaires: Tuillière et Sanadoire. Dans le lointain, le mur de brouillard enveloppe encore plaines et vallées.

 
 
 
 7/ la ballade s'est poursuivie en raquettes  à travers des forêts de sapins croulant sous la neige fraiche jusqu'au plateau de Chantauzet entre Puy Gros et Banne d'Ordanche. S'offrent à moi alors ces paysages dignes du grand nord canadien, figés par le froid. Ces surfaces planes sculptées et ridées par le vent craquent sous les pas réguliers des raquettes en émettant un crissement strident qui vient troublé le silence absolu.




8/ du haut de la but de Chantauzet, (1360 m), s'offre un spectacle grandiose à 360° d'où le regard ne sait plus où se projeter, tant les points de vue sont fabuleux. Le coeur bat, pas seulement à cause de la pente que je venais de gravir, mais aussi à cause de la beauté de la nature me plongeant dans un silence presque spirituel et admiratif. Je ressentais une jouissance induite par la contemplation. Quelle chance extraordinaire d'être là à cet instant, imprégné par le silence d'une nature encore pure, intouchable et intensément belle...
Ci-dessous, la vue sur la chaine du Sancy, et la station du Mont Dore.

 
 
9/ Après ces instants de contemplation, je revenais sur le lac du Guery par la forêt en empruntant délicatement les pistes de fond. Je traversais des sapinières et je prenais un moment pour admirer ces fiers sapins figés par le froid, le poids de la neige et du givre leur donnant l'impression de fantômes qui attendent, immobiles, que la nuit tombe pour aller hanter les hauts plateaux ...

 
 
10/ Sur la route du retour, je m'attardais pour admirer la chaine des puys colorée par les derniers rayons du soleil couchant. Je pensais à cette splendide journée et des paysages plein les yeux me revenaient sans cesse. Et déjà je projetais une prochaine sortie vers ces grands espaces épargnés par la civilisation.


Le voyage continue ici avec d'autres photos

 

vendredi 22 novembre 2013

Auvergnement Votre: Première neige... d'automne en montagne

En ce moment, les médias en parle beaucoup: c'est la première offensive de l'hiver alors que nous sommes encore à 1 mois de l'entrée officielle du Général ! Cependant pas partout car dans la plaine de Riom (Limagne) aucune trace de neige ce soir !.. Et moi qui adore ça, je suis bien triste...

Mais la semaine dernière déjà, l'occasion s'est présentée d'aller à sa rencontre à 15 mn d'ici seulement. Non loin du col de la Nugère, sur la route de Vulcania, elle était bien là malgré une végétation automnale encore bizarrement tardive pour cette altitude (800 m).
Je vous propose de voir quelques photos illustrant ce contraste saisissant. C'est non sans rappeler l'extrème rudesse du printemps dernier qui, presque au même endroit, fin mai, nous offrait un spectacle tout aussi saisissant, voire inquiétant, par la répétition de ces phénomènes. (voir Auvergnement Votre: printemps hivernal ). Le réchauffement du climat, paradoxalement, ne serait pas innocent à ces bouleversements des saisons.


1/ Le contraste commence par cette vue d'un chemin enneigé bordé d'arbres encore tout en feuilles colorées.

 
 
2/ et au sol, ces quelques feuilles de bouleaux fraichement tombées.
 



3/ encore plus contrastant: les vaches pas encore rentrées à l'étable, cherchant de l'herbe au travers de la neige !




4/ Amusant aussi ces 2 bonhommes de neige contrastant là encore avec le fond des arbres habillés pour l'automne



5/ un aperçu du Puy de Jumes, depuis le plateau de Beauregard où la fraicheur du soir tombant provoque des brumes hivernales alors qu'il fait très doux à cette altitude (8°C). A noter qu'à la même heure, dans la plaine il ne fait que 3 °C !



6/ Et bien sûr, notre fier Puy de Dôme qui a revêtu son manteau d'hiver , paré pour les frimas, cotoyant sur sa droite le flanc du Puy de Côme. Au premier plan, des arbres dans leur parure automnale se demandent encore pour quelle saison il faut pencher.
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Si vous voulez revoir ces photos et bien d'autres en version diaporama, c'est ci-dessous



samedi 16 novembre 2013

Auvergnement Votre: Là haut sur le Puy de Jumes...

Avec l'arrivée de l'automne, ce sont les premiers brouillards et frimas qui enveloppent plaines et vallées, mais aussi la montagne parfois.

Cependant, l'avantage des sommets sur la plaine et les plateaux, en automne comme en hiver, est de pouvoir se trouver au-dessus de cette grisaille pesante et humide.

C'est ce que je propose de vous montrer cette fois-ci à l'occasion d'une sortie faite le matin du 11 Novembre.

Je suis parti tôt pour saisir l'opportunité de bénéficier des premiers rayons du soleil, mais pas de chance, car il aura fallu quand même attendre que ça se lève même à 1160 m !


1/ voilà ce que ça donne dans le brouillard pas très loin du sommet, au milieu de la forêt. Pas très engageant, n'est ce pas ?

 


2/ Et pourtant, le soleil n'est pas loin. Au sommet, 10 mn après avoir atteint le bord du cratère, un semblant de soleil redonne de l'espoir..




3/ En attendant qu'Hélios veuille bien me donner un peu de chaleur et de lumière, j'ai photographié cette bombe !... Et oui, cela s'appelle aussi une bombe, mais volcanique, à base de scories. Normalement, c'est rouge-brun, voire noirci. Ici c'est tout simplement une bombe... givrée !



4/ et pendant que j'y suis, voici des feuilles de hêtre pas encore tombées, prises dans le givre.  Il Faut dire que pour ce 11 Novembre, il ne faisait que - 3° au sommet vers 10H.



5/ Soudain, en l'espace de quelques minutes, la brume très dense se déchire pour laisser apparaitre comme par magie, ainsi que le ferait un rideau qui se lève sur la scène du théatre, un spectacle toujours aussi éblouissant: la chaine des puys !



6 / Du Puy de Jumes (où je me rends souvent), vue imprenable sur le Pariou émergeant du brouillard.



7/ Nul besoin de présenter l'emblématique et fier sommet du département ...


8/ sur le flanc Ouest du Puy de Jumes, vue sur le Puy de Louchadière au cratère égueulé, séparé par cette superbe forêt de résineux qui contraste avec la hétraie habillant les flancs du cratère.



 

 
9/ il est temps de redescendre et de traverser cette forêt. Un aperçu avec ce tapis de mousse qui la couvre sur des dizaines d'hectares.
 
 


10/ Alors que j'arrivais au col de la Nugère, point de départ de ma balade, je surpris ce papillon ... de nuit, mais qui avait définitivement trouvé le repos dans sa nuit, curieux non ?



Si vous voulez revoir l'ensemble de ces photos et bien d'autres aussi, c'est ci-dessous.

La haut sur le Puy de Jumes...

 
 

mercredi 23 octobre 2013

Auvergnement Votre vous emmène du Puy Mary au Puy Chavaroche (Cantal)

Le temps passe vite et déjà nous arrivons à la Toussaint! Alors avant que les feuilles mortes ne recouvrent les sols, les brouillard n'enveloppent les vallées, et les frimas transforment nos montagnes en noir et blanc, voici un retour en arrière vers la saison estivale grâce à une randonnée effectuée en Aout 2013 dans le Cantal avec des amis, et située pas très loin de celle faite fin Juillet 2013.

Je vous emmène du Puy Mary au Puy Chavaroche en passant par la vallée de la Jordanne (vers Mandailles) pour découvrir de nouvelles lumières, des volcans éteints où seules les cheminées et les pentes escarpées, usées par l'érosion nous procurent une sensation très modestement alpestre.

Le Puy Mary (1787 m) qui domine le pas de Peyrol (le plus haut col du Massif Central à 1592 m fermé 6 mois par an à cause de la neige !) reste un sommet emblématique étant donné son aspect pyramidale et sa position centrale au coeur de 5 vallées mageures qui l'entourent: vallées de la Jordanne, de l'Impradine, du Falgoux, de la Santoire et du Rhue.

Distant de 3 kms à vol d'oiseau, son voisin le Puy Chavaroche (1737 m) domine la vallée de la Jordanne au Sud et celle du Fau au Nord.

La flore locale est typique de la région de moyenne montagne, et certaines espèces communes avec celles des Alpes comme l'attestent plusieures photos dans le lien ci-dessous.

Alors bonne ballade à vous aussi !



1/ Point de départ: le pas de Peyrol pour accéder au sommet par la "face nord" avec 200 m de dénivellé, un escalier en quelque sorte!



2/ le Puy Chavaroche, le sommet à droite de la photo. Vous voyez, à vol d'oiseau, ce n'est pas loin !



3 / vue depuis la descente du Puy Mary, les fours de Peyre Arse et la breche de Roland (voir aussi mon article du 01 Aout 2013)



4/ depuis le col de Redondet, à mi-chemin entre le puy Mary et le puy Chavaroche, vue sur le cirque du Falgoux et la route venant du Pas de Peyrol



5/ depuis les hauteurs du puy Chavaroche, vue sur la vallée de la Jordanne, et le puy Griou; 850 m plus bas, le village de Mandailles où nous sommes descendus avant de remonter au Pas de Peyrol!...



6/ et voici quelques fleurs en commençant par les joubardes que l'on retrouve aussi dans les Alpes.



7/ puis, non loin du sommet du Chavaroche, en contrebas, sous un rocher, ces fleurs un peu mystérieuses...Il doit s'agir de la raiponce



Si vous souhaitez visualiser bien d'autres photos de cette randonnée, voir le lien ci-dessous.




dimanche 18 août 2013

Auvergnement Votre en Cezallier, Egliseneuve d'Entraigues et les cascades

Entre massif du Sancy et Mont du Cantal, le Cezallier offre ses immenses terres de pâturage et d'élevage, entre 1000 et 1200 m, coupées par quelques vallées occupées par des bourgades où la vie est rythmée par les saisons.
L'hiver dure 8 mois, c'est bien simple, ou souffle vent du Nord, ou d'Ouest amenant parfois l'isolement des villages et hameaux par la neige pendant plusieurs jours, voire semaines.
L été, les vaches et chevaux se retrouvent pour 3 à 4 mois dans les prés pour y brouter l'herbe tendre et drue.
C'est à cette occasion que le randonneur avide de tranquilité et de grands espaces peut arpenter chemins, et sentiers, traverser les pâturages et se mêler à la vie locale.

Je vous offre un détour par des terres déjà rencontrées plus tôt dans la saison (voir mon post sur le Haut Brion), mais à la différence cette fois avec des conditions estivales idéales, via un charmant bourg du sud du département du Puy de Dôme, limite Cantal: Egliseneuve d'Entraigues.
A cette occasion, je vous emmène d'abords découvrir les 2 cascades d'Entraigues et ensuite, vous verrez surtout vaches Salers et chevaux et poulains au coeur de ce pays sauvage mais très attachant.


1/ La cascade d'Entraigues, prise tôt le matin avant l'arrivée des touristes ou des locaux qui viennent faire trempette les jours chauds.



2/ Cette cascade de 15 m de haut est alimentée par le ruisseau d'Entraigues, d'où son nom.




3/ Vue d'en haut, elle reste impressionnante.



4/ à moins de 500 m, la petite soeur totalement différente, moins sauvage, plus bucolique sans doute, avec un superbe drapé. Son nom est fort joli: cascade du Bois de Chaux.



4/ on y accède par une petite route sous le lac d'Entraigues, dans le fond d'un vallon. Pas facile à découvrir...




5/ et voici ce petit lac où pêcheurs et promeneurs se croisent sans se rencontrer vraiment. L'hiver, ce petit lac est entièrement pris par la glace.

 
 
 
6/ Puis très vite on se retrouve sur le plateau, et de là au Sud se dresse la barrière du Cantal, avec le Puy Mary, le Puy Chavaroche et le vallée du Falgoux
 
 
7/ Comme je l'annonçais plus haut, nous sommes au coeur des contrées sauvages, et la nature se présente à nous dans sa plus grande beauté. Quoi de plus magnifique que de voir se reposer dans l'herbe fraiche un jeune poulain pas plus agé de quelques jours?
 

8/ Et plus loin, sur fond de Sancy, quel bonheur de rencontrer ces vaches Salers, la mère prenant soin de son petit..


 
 
 
9/ Un zoom s'impose, trop mignon non? 



10/ Et quel regard attendrissant !



11/ Et au loin, aussi surprenant que cela puisse paraître, un troupeau de taureaux! Mieux valait ne pas se trouver dans la prairie !



12/ Soudain, un cri perçant dans le ciel! J'ai juste eu le temps d'apercevoir ce Milan Royal, reconnaissable à ses ailes alternant le clair et le foncé, de même la queue en V . Quelle chance !! Cela dit, il est passé relativement loin, et mon objectif de 135 mm ne m'a pas permis de mieux le saisir


 
13/ Ah, au fait, le village d'Egliseneuve d'Entraigues, le voici avec au fond le Cantal (à gauche le Puy Mary). 
 
 
 
Et si vous voulez voir d'autres photos, c'est ici !...

Entre Sancy et Cantal, Egliseneuve d'Entraigues

 
 
 
 
 
 
 
 

jeudi 1 août 2013

Auvergnement Votre au Cantal: La breche de Rolland

 C'est vers un nouvel horizon auvergnat que je vous convie cette fois, à la découverte d'un site remarquable, parmi les plus beaux de France pour sa géologie, son volcanisme, son harmonieuse beauté entre volcans et vallées glacières, et les terres infinies et sauvages à perte de vue.
Départ depuis le col de Serre (1360 m) situé peu avant le Pas de Peyrol (1592 m), sous le célèbre Puy Mary (1787 m)

De là, je vous emmène vers la brèche de Rolland qui sépare les vallées de la Jordanne au sud ouest, des vallées de l'Impradine, de la Rhue et de la Santoire au Nord et à l' Est. Des points de vue à couper le souffle parmi les gentianes et les vaches Salers. Puy je vous fais longer Peyre Arse, cette immense éperon volcanique culminant à plus de 1800 m séparant les vallées de Santoire et d'Impradine.

1/ C'était Dimanche 21 Juillet: un temps idéal pour cette rando avec comme point de départ le col de Serre.Vue sur le Puy Mary (vous noterez qu'il reste un névé ce qui est rare pour cette époque), et à gauche on aperçoit la brèche de Roland




2/ la fameuse breche de Rolland qu'il faudra franchir, et qui forme un large éperon volcanique séparant les vallées d'Impradine, de ce côté-ci, et de la Jordanne de l'autre côté



3/ Dans la brume du matin, au sud, Peyre Arse domine la vallée de l'Impradine




4/ La breche de Rolland, c'est bien par là; une belle montée en perspective




5/ preque au pied du pas de Peyrol, le flanc du puy Mary et des renouées bistortes au premier plan




6/ Peyre Arse (1806 m) et ses "fours" et le chemin d'accès



7/ Depuis la brèche de Rolland, vue sur la vallée de la Jordanne et le puy Griou, pyramide accessible mais raide recouvert de phonolite (pierres qui sonnent, d'origne volcanique)


 


8/ Autre vue sur la vallée de la Jordanne, avec Mandaille dans le fond, direction Aurillac. Au premier plan, des gentianes dont les racines permettent de fabriquer l'Aveze locale (à boire avec modération !)



9/ une occasion aussi pour montrer la flore locale: ici l'Adenostyle, couleur lilas. Il en existe des pourpres.



10/ et ci-dessous, le lis martagon



11/ et enfin, beaucoup plus courante, l'orchis... mais laquelle précisément? Faudrait demander aux spécialistes !



12/ vue sur la large vallée glacière d'Impradine avec le col d'Eylac à gauche et la route montant au pas de Peyrol




13/ En arrivant au col de Cabre (1590 m), vous dominez la vallée glacière de la Santoire avant de devoir y plonger pour terminer votre périple...


14/ pour le retour vous passez au fond de la vallée d'Impradine en croisant les fameuses salers. Au fond le Puy Mary. De là, il faut remonter au col de Serre.


 
 

Pour ceux qui aiment la rando, je vous conseille cette sortie dont vous trouverez le descriptif dans le guide Chamina Volcan Cantalien, PR 10, 5H30 et 600 m de dénivellé. Vous pouvez aussi trouver cette rando sur Internet.

Et si vous voulez voir le diaporama avec encore plus de photos, c'est ici